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Chanson extraite d'une video postée sur youtube, où Marie-Christine Labourie dénonce avec humour et ironie, l'utilisation abusive du corp des femmes dans la publicité.
Paroles :Nana coupée en p'tis morceauxEsclave de pub avec ma peau.Et mes nibards, mon postérieurChute de reins même pour vendre du beurre.Faut des barbies sur les capots,Des nichons sur les parfums chauds.Faut même des hanches en étalage,(..........?..........) j'enrage.Faut des yaourts pour les bidonsFaut de la crème pour capitonsFaut l'Oréal pour cheveux longsL'Oréal ?! (.....?.....)(..........?..........)Nana coupée en p'tis morceauxEsclave de pub avec ma peau.Et mes nibards, mon postérieurChute de reins même pour vendre du beurreOn est plus qu'une carrosserie,Un présentoir à l'air niaiseux.Un porte manteaux de conneries,Une marchandise (.....?.....)Les poitrines sont de beaux fromages,Les fesses sont des aspirateurs.Les mains deviennent des p'tis potages,Ce réalisme, ça me fait peur.La télé s'embrouille, c'est le délire,Les cheveux sont des lustucrus.Les culs s'étirent et tournent en vrille,Sortent de l'écran, sur moi se ruent.Des moulinex (?) des nichons,Des collants surgissent dans le salon.Toute la pub s'est déréglée,Les femmes sont des (?) cassées.Des filles à poils sur les trottoirs,De tous les vendeurs de journaux.Vive le porno bien reptilien,Caches tes photos dans le FigaroMais qui a donc autoriséA laisser nos corps prostitués ?Chair féminines, chair à pognon,J'casse leur télé avec mes talons.Nana coupée en p'tis morceaux,Esclave de pub avec ma peau.Et mes nibards, mon postérieur,Chute de reins même pour vendre du beurre.Allez tagguer tous vos écrans,Toutes les affiches qui nous vendent tant.J'veux de l'érostisme, de l'essentiel,De beaux corps nus mais....mais, pour 7ème ciel.(Pour voir la video complète cliquez ici )[Si vous avez des propositions à faire concernant les paroles, n'hésitez pas, car j'ai tout fait à l'oreille et comme vous le voyez, ça donne un texte à trous.]
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Petit clin d'oeil à ceux qui me traitent de mègère androphobe.
Chanson écrite par Boris Vian, chantée par Annick CisarukParoles :Avez-vous vu un homme à poilSortir soudain de la salle de bainsDégoulinant par tous les poilsEt la moustache pleine de chagrin?Avez-vous vu un homme bien laidEn train de manger des spaghettiFourchette au poing, l'air abrutiDe la sauce tomate sur son giletQuand ils sont beaux, ils sont idiotsQuand ils sont vieux, ils sont affreuxQuand ils sont grands, ils sont feignantsQuand ils sont petits, ils sont méchantsAvez-vous vu un homme trop grosExtraire ses jambes de son dodoSe masser le ventre et se gratter les tifsEn regardant ses pieds l'air pensif?Ne vous mariez pas, les filles, ne vous mariez pasFaites plutôt du cinémaRestez pucelle chez vote papaDevenez serveuse chez un bougnatÉlevez des singes, élevez des chatsLevez la patte à l'OpéraVendez des boite de chocolatPrenez le voile ou le prenez pasDansez à poil pour les gagasSoyez radeuse avenue du BoisMais ne vous mariez pas, les fillesNe vous mariez pasAvez-vous vu un homme gênéRentrer trop tard pour le dînerDu rouge à lèvres sur son colDu flageolant dans la guibolleAvez-vous vu au cabaretUn monsieur qui n'est plus très fraisSe frotter avec insistanceSur une petite fleur d'innocenceQuand ils sont bêtes, ils vous embêtentQuand ils sont forts, ils font du sportQuand ils sont riches, Ils garent l'articheQuand sils sont durs, ils vous torturentAvez-vous vu à votre brasUn maigrichon aux yeux de ratFriser ses trois poils de moustacheEt se redresser, l'air bravacheNe vous mariez pas, les filles, ne vous mariez pasMettez vos robes de galaAllez danser à l'OlympiaChangez d'amant quatre fois par moisPrenez la braise et gardez-laCachez la fraîche sous vos matelasA cinquante ans, ça serviraA vous payer des beaux petits garsRien dans la tête, tout dans les brasAh, la belle vie que ça seraSi vous ne vous mariez pas, les fillesSi vous ne vous mariez pas
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Histoire d'y voir plus clair
Parce que les sacs de noeuds on n'en peut plus, Marie-Hélène Boursier (maître de conférence) et Alice Moliner (dite Labaz qui travaille pour la presse), nous livrent avec ce petit essai, un survol des théories féministes les plus essentielles.Avis perso :(Lecture en cours)
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