• Encore une remarque je suppose ou un coup de gueule, c'est encore a vous de voir^^

     

    Suite à mon article qui traitait de la malice de Nice Matin, je souhaite m'excuser au nom du journal. Figurez vous que le lien qui devait vous mener vers l'interview de Madame Badinter, ne vous y mene malheureusement pas.

     Je m'excuse pour ce petit problème, qui selon moi n'en est pas un. La page est introuvable et c'est regretable, mais pas de souci, le lien vers les "femmes/vaches" lui fonctionne à merveille.

    Traitez moi de parano, mais je suis certaine que Nice Matin n'y est pas pour rien. Je vous le rappelle, les deux articles étaient publiés exactement le même jour, pourquoi donc l'un des deux a-t-il était supprimé et pas l'autre ?

    Partant de là, on peut aussi noter que la suppression était visée. Nice Matin ne semble pas apprecier Elisabeth Badinter, comme nous l'avions déjà remarquer dans le précedent article.

     

    Je suis donc désolée, pour tous ceux qui souhaitaient lire l'article que je vous avais décrit. Au cas où vous voudriez malgrés tout le retrouver, je vous donne son titre:

      

    L'interview du dimanche Elisabeth Badinter : "Une mère formidable c'est aussi rare qu'un Mozart !"

     

    Voilà, sinon pour les autres....dites au revoir à Elisabeth^^


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  • Oui, ça fait un moment que je gardais ça en tête, dans l'idée de vous le signaler un jour, et ce jour est arrivé

    Petite remarque, petite critique ou petit coup de gueule, c'est à vous de voir.

     

    Il y a quelques mois, le quotidien du département des Alpes Maritime  Nice Matin publia  une entrevue avec la féministe et philosophe Elisabeth Badinter, à l'occasion de la parution de son nouvel ouvrage "Le conflit la femme et la mère" in   .   deeopzfhzri.  dsfcuhyli_ 

    Un article à première vue comme tous les autres: l'interview d'un auteur en pleine "promotion", des questions sur le livre lui même et d'autres concernant d'avantage son concepteur. Cependant, comme tout le monde le sait (ou vous allez l'apprendre), ce nouvel ouvrage fut trés contreversé (et l'est toujours d'ailleurs).

    J'ai lu l'article d'une traite, cherchant les questions pièges, voulant lire entre les lignes (sachant que les écrits de la féministe étaient, le plus généralement discutés). Rien ne me choqua particulièrement. Le sujet le plus abordé était bien entendu celui de la maternité et par là, aussi de l'allaitement.

    Au passage je signale que dans la publication du même jour, le quotidien avait fait un autre article sur le fromage au lait de femme. Rassurez vous ceci n'était qu'un canular, une "experience" selon certaines (voyez plutot):

     
     
     

     

     
     
     
     Bref, le journal avait donné le ton: "je parle serieusement, mais l'ironie n'est pas loin". Tout cela finit par attirait mon attention et je pu enfin remarquer cette cerise sur le gateau, gosse comme une boule de bowling.  Nice Matin  de façon....je ne vais pas dire subtil (n'ayant aucune envie de leurs accorder ce talent)...de façon...malicieuse (oui j'aime mieux ça) avait placé juste en face de l'interview d'Elisabeth Badinter une énorme photo représentant le visage d'un poupon. :/
     
    Récapitulons: Des femmes transformées en vaches, l'entrevue avec la philosophe jugée féministe extrémiste (autrement dit "mauvaise mère), suivie de (trop) prés par le visage rond d'un bébé...eumh eumh

     

     

     

    Ainsi donc la direction du journal rit au nez de Madame Badinter et par la même occasion discrédite son discours par la manipulation d'image. Les femmes lisant l'article, lisant les mots engagés de la philosophe, ne peuvent lutter contre les yeux tendres du bébé qui les observe sur la page suivante. Honteuses de boirent des paroles qui leurs chuchottent que la maternité n'est pas une vie, elles préféreront surment déclarer qu'Elisabeth Badinter dramatise les choses et qu'elles ne se sentent en aucuns cas concernées par les propos qu'elle aborde.
     
    En tous cas moi, je ne pu retanir le rire nerveux. Merci l'information, chapeau au rédacteur en chef, qui dans son élan de création répond aux attentes d'une société qui ne veux pas changer. 
     
    Je vous laisse ce lien, à vous de juger, lisez l'article si vous le souhaitez et ensuite imaginez un bébé aux beaux yeux bleux qui vous regarde.
     
     
    Voilà, ma tête n'est plus encombrée par cette petite anecdote et je souhaite le bonjour à Madame Badinter
     
    ;)

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    Les féministes n'ont pas d'humour ?!

    N'en soyez pas si sûr, leur humour est ravageur.

     

    Rire de tout, de nous, de vous et d'elles-mêmes. C'est pour elles une forme de discours à par entière, comme le prouve une étude universitère qui se penche sur « L'humour : un aspect du discours féministe des années 1970-90 au travers des journaux »

     Donc oui, on peut en rire et on ne se gène pas.

     
     

     

    Pour ma part, cette rubrique sera mon défouloir.

    Je vous y donnerais (peut-être) le bâton pour me battre, mais gardez le sourire s'il vous plait. 


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      Chiantes, extrémistes, butées, voyant le mal partout. Les féministes ne sont généralement pas vues d'un bon oeil et souvent caricaturées. Arrêtez avec les clichés !

    A coup de pied dans les opinions terreuses, on secoue le cocotier...et alors ?

     

    Il y a des vérités qui méritent d'être soulevées/dénoncées.

    Le féminisme n'est pas une maladie !

    Rien q'une allergie au sexisme, au machisme, au patriarcat et autres choses inutiles et infondées .

     

    Certains disent :

    "Féministe ?! Pour quoi faire ? Vous avez des droits maintenant, c'est plus comme avant".

    Traduction :

    "Féministe ?! Jamais contentes ! On vous a déjà accordé certains privilèges, ça ne suffit pas ?"

     

    Et non, c'est loin de suffire ! Comme s'il fallait se contenter de ses quelques pas en avant faits en amont, alors que certaines mentalités partent toujours à reculons.

    Même si certaines choses apparaissent sur le papier, la société se plaît à aller dans le sens inverse de celles-ci. Il y a eu du progrès, mais il faut encore.

    C'est pourquoi nous sommes "chiantes", et nous continuerons à l'être jusqu'au bout.


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